L’Histoire du Karate-Do
C’est vers 1930, au dojo de l’Université de Keio, que Funakoshi a commencé à utiliser l’idéogramme « Kara » signifiant « vide » pour remplacer celui de « To » désignant la Chine. Il appelle alors sa méthode Dai Nippon Kempo Karatedi (« méthode des poings et voie de la main vide du Grand Japon »).
En octobre 1936, le changement de nom devint officiel au cours d’une rencontre à Naha, des Maîtres d’Okinawa pour discuter de l’opportunité du changement. La raison évidente du changement était la montée du nationalisme au Japon, mais aussi une influence des enseignements du bouddhisme Zen que Maître Funakoshi avait commencé à pratiquer sous la tutelle de l’abbé Furukawa Gyodo du temple d’Enkakuji à Kamakura.
En octobre 1936, le changement de nom devint officiel au cours d’une rencontre à Naha, des Maîtres d’Okinawa pour discuter de l’opportunité du changement. La raison évidente du changement était la montée du nationalisme au Japon, mais aussi une influence des enseignements du bouddhisme Zen que Maître Funakoshi avait commencé à pratiquer sous la tutelle de l’abbé Furukawa Gyodo du temple d’Enkakuji à Kamakura.
Funakoshi a retenu le soutra Bouddhiste « Shiki soku ze ku, Ku soku ze shiki » (« la forme est le vide, le vide est la forme »). On peut traduire cet enseignement par : « l’apparent est accès au vide, le vide permet d’accéder à d’autres états de la conscience ». Ou encore : « Tous les phénomènes égalent le vide, le vide égale tous les phénomènes ».
Les arts martiaux prirent des formes diverses dépendant de la zone géographique et continuèrent de se propager et d »évoluer dans tout l’extrême orient grâce aux échanges et au commerce. L’un des endroits où ils aboutirent finalement fut Okinawa.
Au 18ème siècle les différentes formes de défense de la population d’Okinawa furent synthétisées dans des systèmes appelés « Te » (main). A la fin du 18ème siècle, trois styles de « Te » étaient principalement pratiqués à Okinawa: le Shuri-te, le Naha-te, et le Tomari-te, qui évoluèrent finalement vers les styles modernes de Goju-ryu, Shorin-ryu, Shito-ryu, Wado-ryu, et Shotokan.
Les arts martiaux prirent des formes diverses dépendant de la zone géographique et continuèrent de se propager et d »évoluer dans tout l’extrême orient grâce aux échanges et au commerce. L’un des endroits où ils aboutirent finalement fut Okinawa.
Au 18ème siècle les différentes formes de défense de la population d’Okinawa furent synthétisées dans des systèmes appelés « Te » (main). A la fin du 18ème siècle, trois styles de « Te » étaient principalement pratiqués à Okinawa: le Shuri-te, le Naha-te, et le Tomari-te, qui évoluèrent finalement vers les styles modernes de Goju-ryu, Shorin-ryu, Shito-ryu, Wado-ryu, et Shotokan.
Sources :
- www.theshotokanway.com
- http://shotokancrsa.com/historique.htm
- www.theshotokanway.com
- http://shotokancrsa.com/historique.htm